Rien que pour nos yeux

C'est la folie cette caisse !

Xavier B.

Microsoft récompensé

Microsoft vient d'être récompensé par le Federal Bureau of Investigation (FBI) par son directeur, Robert S. Mueller III, pour « services exceptionnels rendus à la nation ». Le Federal Bureau of Investigation (FBI) a effet annoncé sur son site Internet avoir récompensé neuf employés de Microsoft pour « services exceptionnels rendus à la nation ». Ces neuf employés, dont Brad Smith, vice président senior de Microsoft, ont été récompensé par le FBI pour avoir contribué à l'arrestation des trois auteurs des célèbres vers informatiques Mytob et Zotob. Selon le FBI ces employés de Microsoft ont été remercié pour « leur aide dans la résolution rapide des recherche surs les ver informatiques de 2005 Mytob et Zotob. »

L'@muse et Blue acacia médaillés

Blue acacia récompensée aux Clics d'Or des grands prix de l'Internet 2006

Lors de la 9ème cérémonie des Clics d'Or au Palais de Tokyo Blue acacia a reçu des mains du jury des Clics d'Or un trophée pour le site Internet www.lamuse.net.

Toute l'équipe adresse ses félicitations à Isabelle d'Erceville et Murielle Desveaux pour l'emag des meilleures sorties en famille.

Longue vie à www.lamuse.net

Créé en 1997 et produit par Geneviève Petit et Dominique Playoust (Thélème), les Clics d'Or récompensent les éditeurs de contenu et de services en ligne et les Agences Interactives,. Les critères de sélection des candidats ont été définis avec les principales associations professionnelles du secteur.

506 inscriptions en 2006 - 65 short listés / 35 primés. Pour la première fois, l'ensemble des inscrits est exposé dans la Clic Alley sur www.clicsdor.com, ce qui offre aux internautes la possibilité de consulter ce que l'Internet français a produit de mieux, en un point unique.

Des nouveautés en ligne...

Mise en ligne du site Rodev

Rodev est une société spécialisée dans le consulting VOIP.
Le site Internet institutionnel est développé avec la technologie Flash de Macromedia.

www.rodev.fr


Mise en ligne du site Scènes d'extérieur
Scènes d'Extérieur est une société spécialisée dans la conception, création et réalisation de jardins et terrasses.
L'interface d'administration du site est développée en asp avec un éditeur de contenu en xml.

www.scenesdexterieur.com

Blog de Laurent Laforge

On ne l'avait pas encore fait mais c'est chose faite. Faire de la pub pour un autre blog donc...
Petit clin d'oeil à notre ami Laurent. Découvrez son blog ! Un mec sympa qui a monté sa boite de marketing interactif à Levallois.

Laurent Laforge // Buzz et web marketing
Blog de Laurent Laforge, cofondateur de l'agence de communication pédagogique et ludique Modedemploi. Marketing viral, communication interactive, entreprenariat, nouvelles techno et autres curiosités.

Xavier B.

Christian Lacroix à grande vitesse

Le projet de relooking lancé par la SNCF et confié au couturier Christian Lacroix me fait rêver.
Ca se passe de commentaires. Non ?

Xavier B.

------ Extrait AFP ------

Les sièges de seconde classe sont désormais recouverts d'un velours prune et rouge, pour évoquer "la famille, les loisirs", tandis que la première classe, avec une dominante de gris rehaussée de quelques sièges vert pomme, restera un lieu de "travail", a précisé le couturier.

"De la mode au mode de vie, il n'y a qu'un pas. Il y a un quotidien dans lequel j'avais le besoin de rester ancré", a expliqué M. Lacroix, qui est petit-fils de cheminot.

Des prises électriques individuelles ont été installées en première classe pour les ordinateurs, les bagages sont désormais plus accessibles, car installés dans la voiture et non sur des plate-formes, et des vélos pourront voyager à côté de leurs propriétaires.

Christian Lacroix a affirmé à cette occasion que sa maison de couture habillerait à partir de 2007 le personnel de la SNCF. Il a déjà élaboré le nouvel uniforme du personnel de la compagnie aérienne Air France, que ce dernier porte depuis avril.

"Il y a eu un concours que nous avons pratiquement gagné pour l'uniforme des contrôleurs. Je vais rhabiller le personnel de la SNCF" à partir de 2007, a déclaré M. Lacroix à quelques journalistes en marge de la présentation des nouvelles rames TGV.

Pour la rénovation de ses TGV, la SNCF avait choisi en mai 2003 un consortium composé du couturier français avec l'entreprise MBD Design, spécialisée dans le design ferroviaire, et la société normande Compin, qui a déjà conçu des sièges de métro.

Ce consortium va rénover la moitié des TGV, qui sont les TGV Atlantique et les futurs TGV Est, soit 183 rames.

L'investissement s'élève à 350 millions d'euros sur quatre à cinq ans, a précisé le directeur général exécutif de la SNCF Guillaume Pépy.

"Le train à grande vitesse reste dans l'imaginaire des gens un rêve dont ils attendent de l'innovation. Le mythe est resté intact. Il fallait donc conserver de l'avance au TGV et faire fort", a-t-il estimé.

Saul Bass

Saul Bass a ré-inventé le générique et a tracé sur le papier une route sans fin pour de nombreux artistes comme Kyle Cooper (réalisateur du sublime générique de Se7en).

Si vous êtes raide dingue des génériques qui laissent sans voix, alors laissez moi vous présenter l'oeuvre de Saul Bass (1920-1996). Il fut l'un des premiers à offrir au public une alternative artistique aux génériques plats et sans saveur.

Son oeuvre est aujourd'hui une référence dans beaucoup de secteurs de la communication visuelle : conception artistique, logos, publicité, affiches, design, effets graphiques, internet et évidemment génériques... En cinq décennies il a signé bon nombre de génériques de films pour Martin Scorsese, Alfred Hitchcock et Otto Preminger : de Psychose à Casino, en passant par West Side Story, Spartacus, La Mort aux trousses, Sueurs froides, Sept ans de réflexion, Les Affranchis, Le Temps de l'innocence, Autopsie d'un meurtre, Les Nerfs à vif et Alien...

Créatif et débordant d'idées, il maîtrisait aussi bien l'animation, les prises de vues directes et l'ornementation des textes. Ces génériques devenaient alors de vrais prologues.

En avance perpetuelle sur son temps, et en recherche permanente d'un style toujours plus contemporain, Saul Bass devançait d'une dizaine d'années la qualité et l'inventivité de la photographie des films.

Autres génériques épatants :
- Panic Room
- Hostage
- Spiderman 2
- Phantom of the Paradise

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Extrait d'une interview avec Saul Bass: "Mon but au travers du générique est de préparer le spectateur à l'émotion du film, à lui ouvrir l'appétit, à le plonger dans l'ambiance de l'histoire, en abordant déjà, et de manière métaphorique, tous les thèmes présents dans le film. C'est une sorte de conditionnement, une expérience qui fait que lorsque le film commence, le public a déjà ressenti une résonance émotionnelle."

Xavier B.

David Robert Hayward-Jones

Né le 8 janvier 1947, David Jones a fait de sa vie son plus beau morceau. Aujourd'hui à presque 60 ans il étonne par son sens de la démesure. C'est à l’âge de 12 ans que son père Haywood lui offre un saxophone, et rapidement, il découvre la musique de Little Richard, Jimmy Reed et Chuck Berry.

Après avoir monté un groupe et participé à plusieurs autres morceaux, sans succès, il prend le pseudonyme de David Bowie.

En 1967, il rencontre le producteur et bassiste Tony Visconti et enregistre début 1969 «Space Oddity ». L’année suivante, les deux hommes s’entourent du guitariste Mick Ronson pour sortir l’album "The man who sold the world", sur la pochette duquel Bowie pose déguisé en travesti.

Dès ses débuts, il provoque donc les médias, et il continuera à s’inventer des personnages excentriques tout au long de sa carrière, ce qui lui vaudra le surnom de caméléon. Puis, début 1972, alors que son épouse Angela Barnett vient de mettre au monde son premier enfant, il déclare être bisexuel. S’en suit l’album "The rise and fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars", pour lequel Bowie incarne le personnage de Ziggy, rock star androgyne mondialement connue et qui déchaîne les foules à chacun de ses passages sur scènes, notamment lors d’une tournée gigantesque en Angleterre et aux Etats-Unis.

Après avoir laissé tombé son personnage de Ziggy, il part travailler aux Etats-Unis. C'est un succès complet avec la participation de John Lennon sur "Young Americans". Malgré cette réussite, le chanteur n’est pas très créatif pendant cette période, et il faut attendre 1976 avec le soul-expérimental « Station to station » pour que son originalité ressurgisse. C’est à ce moment-là qu’il tourne "The man who fell the earth" de Nick Roeg, dans lequel il joue un extraterrestre, personnage qu’il s’approprie dans la vie, aidé par la cocaïne.

A partir de 1977, il part pour Berlin enregistrer une trilogie aux côtés de Brian Eno. "Low", "Heroes" et "Lodger" sont le reflet de son goût pour la musique électronique allemande qui s’oppose à la vague punk du moment. Il devient ainsi l’artiste le plus novateur de son temps, et parvient à séduire un nouveau public. En 1980, David Bowie signe "Scary Monsters…and Super Creeps", dernier chef-d’œuvre d’une époque florissante.

Survolté, Bowie débute une grande carrière de comédien, en donnant la réplique à Marlène Dietrich et Kim Novak dans "Just a gigolo" en 1979. Puis il joue à Broadway dans la pièce "Elephant Man", un véritable succès, et il interprète son propre rôle en 1981 dans le film "Christiane F." de Ulrich Edel. En 1982, il enchaîne avec les films "The Hunger" de Tony Scott, aux côtés de Catherine Deneuve et Susan Sarandon, et "Merry Christmas Mr Lawrence" de Nagisa Oshima.

L’année suivante, l’album "Let’s Dance" atteint le sommet des ventes grâce aux titres "China girl" et "Modern love", mais surtout grâce à la guitare de Nile Rodgers, qui l’accompagne.

Puis l’inspiration manque peu à peu au chanteur. Il décide donc en 1989 de créer un nouveau groupe de rock, Tin Machine, qui va donner lieu à deux albums éponymes sans suite. En 1992, il épouse le magnifique mannequin Iman, avec qui il aura un enfant, et en 1993, Nile Rodgers l’aide de nouveau à retrouver le succès avec l’album aux sonorités funk, "Black tie white noise".

Puis c’est Brian Eno qui l’appuie deux ans plus tard pour concocter « Outside » où fusionnent ses inspirations actuelles et passées. Pour chaque album, le caméléon change d’apparence, et en 1997, il réalise avec Reeves Gabrels le disque "Earthling", un mélange subtil de techno, jungle et drum’n’bass.Cette année-là, il fête ses 50 ans lors d’un concert au Madison Square Garden à New York où l’attendent plus de 15 000 personnes. En 1999 sort l’album "Hours", dont la majorité des titres sont enregistrés pour accompagner le jeu vidéo "The Nomad Soul", et dont la chanson "The pretty things are going to hell" figure dans la bande originale du film "Stigmata", de Rupert Wainwright.

Il est suivi en 2002 par "Heathen" et en 2003 par "Reality", et tous les trois sont produits par Tony Visconti. Enfin, 2003 marque également l’année d’un grand concert organisé à Londres et retransmis en direct dans de nombreuses salles de cinéma dans toute l’Europe. Il est suivi d’une grande tournée mondiale.

Xavier B.

T-shirt à la fraise

"Quel est le principe du site ?
Lafraise.com est un éditeur de T-shirt en séries limitées de 500 tshirts, proposant aux graphistes un concours permanent et rémunéré (1000 euros par visuel imprimé). Le but du site est de faire sérigraphier, et de vendre les T-shirts les plus appréciés par les visiteurs de la galerie du site."

J'ai déjà tout acheté !

Xavier B.

Inaccessible

Acheter ce téléphone nécessite de posséder une Bentley comme son créateur : Frank Nuovo. Ce dernier vit entre la Finlande et sa maison du sud de Los Angeles. Il possède une Bentley de 1952 («mais je roule surtout dans ma Porsche Carrera 4», précise-t-il).

Faites un tour chez Colette et découvrez le dernier modèle : Signature Diamond. C'est la nouvelle édition limitée du luxueux portable griffé Vertu, très précieuse. En or 18 carats, jaune ou blanc selon les goûts, la façade se décline en deux versions plus ou moins pavée de diamants. Visibles la première semaine de décembre. Sur commande.

Vertu – filiale prestige du géant finlandais Nokia - joue la carte du très grand luxe dans un segment non encore exploré. Les quatre modèles de téléphones mobiles proposés coûtent de 6000 à 24'000 euros.

Objet identifié réservé à la Jet-Set. Pour moi mes yeux se font plaisirs, ça ne fait pas de mal.

Xavier B.

Ryan McGuiness

Ryan Mac Guiness est l'artiste à la mode dont on parle beaucoup en ce moment. Pourquoi ? Et bien, il est à l'origine d'une nouvelle "mode" graphique dans certaines publications et médias. Moi j'aime bien. Je ne dis pas que j'adore mais j'aime bien ce côté lumineux, entre graphisme et nature, entre art et décoration.

Il mélange avec beaucoup de panache les typos, l'illustration et la calligraphie.

Je connais beaucoup de graphistes qui n'aiment pas Mc Guiness. Ils le revendiquent. Tant pis pour eux, ils n'ont pas son CV.

Xavier B.

La pétroleuse

Découvrez ce site explosif.

Ca décoiffe.

Xavier B.

Illustrations and co

Des illustrations, des illustrations et encore des artistes qui impressionnent.

Pour en voir plus c'est ici : non, c'est par là ;)

Magda

J'ai découvert cette Galerie par hasard en lisant un Mag. Alors, profitez en !

Galerie Magda Danysz
19, rue Emile Durkheim
75013 Paris

Au fait l'artiste de ce petit chef d'oeuvre c'est : Sas Christian.

Petite bio pour le fun : elle est née à Londres en 1968. Elle vit et travaille désormais aux Etats-Unis où elle a déménagé dès 1992. En 1999, elle commence à peindre. Travaillant au début l'acrylique elle y préfère l'huile dès 2003, se remémorant ses visites, enfant, des musées européens et l'impression que lui avaient faites les toiles des " maîtres ". Elle expose principalement en Floride, à New York et en Californie et débute désormais sa carrière en Europe.

Les diners ARTY

Boire un verre avec un artiste, discuter à bâtons rompus avec un galeriste ou un commissaire d’exposition...Maintenant, l’art contemporain se découvre aussi dans les dîners. Idéal pour briser la glace.

L’idée : chaque dîner organisé par Art Process a son thème (art et télévision, collection particulière...) avec, à chaque fois, des intervenants (galeristes, artistes, commissaires d’expos) choisis pile-poil. Au dîner organisé sur le thème « Du glamour dans l’art contemporain ? », c’étaient Jennifer Flay, directrice artistique de la Fiac, et Kamel Mennour, le galeriste de Martin Parr et d’Araki. Les participants se retrouvent dans une galerie ou un restaurant pour un pique-nique ou un dîner. On s’installe à la bonne franquette et on discute avec tout le monde dans une ambiance café du commerce. Un doux mélange d’étudiants en école d’art, de collectionneurs en herbe,de galeristes, d’artistes et de chefs d’entreprise.

A venir : le 23 mai, un dîner sur le thème « La diffusion alternative de l’art ».
Inscriptions au 01 47 00 90 85.

Une pub mortelle

Dans le genre ça fait peur et ça fait rire, la pub New-yorkaise pour la Série Les Sopranos est assez sympa. Non ? Un message pareil, on s'en rappelle forcément.

Noir c'est noir

J'ai acheté le dernier album de Depeche Mode il y a 2 mois sur iTunes (il existe aussi en version SACD 5.1). Je n'ai pas pu écrire une ligne dessus depuis. Il n'y a pas de mots plus forts que cet album. Je l'écoute en boucle dans ma smart, ça emmerde tout le monde. Lisez l'article d'Arnaud Viviant et achetez l'album du moment. Il faut que je vous le dise quand même, Suffer Well est un morceau "lunaire".

"C’est au début des années 80 que nous ramène directement le nouvel album, Playing the Angel. C’est bien connu, qui fait l’ange fait la bête, et nous voilà avec ce disque comme précipités dans une de ces infernales machines à remonter le temps ; lesquelles sont toutes aussi et surtout, comme chacun le sait, d’infernales machines à démonter le temps.

Et celle-ci est garantie : Playing the Angel est certes un disque fait avec des machines, mais avec de vieilles machines. Quel son, à la fois électronique et sale, bourdonnant et scintillant, avec un souffle incroyable ! Le souffle, très exactement, sec et frais comme l’haleine d’un cocaïnomane des années 80. Il semble que, sur ce point, l’apport du producteur Ben Hillier ait été essentiel. Hillier n’est pas très connu, mais il a tout de même réalisé un album de Blur : une référence de sacrés pinailleurs au compteur. C’est visiblement un amateur de musique électronique qui doit écouter plus souvent Pierre Henry que Depeche Mode. Mais Hillier a eu l’idée : il est allé chiner sur Internet les vieux synthétiseurs, les vieilles boîtes à rythmes des années 80, celles que Soft Cell ou Eurythmics utilisaient pour Tainted Love ou Sweet Dreams. Mais enregistrées avec la technologie mille fois plus perfectionnée d’aujourd’hui, d’où ce sentiment de matière et de souffle.

Le reste, ce sont les chansons de Martin Gore. Ces espèces de vieux blues électroniques sur le thème de la douleur et de la peine. Où, dans la bonne vieille tradition du blues, les métaphores bibliques, vaguement retournées sexuellement, s’enfilent comme des perles. Dave Gahan chante divinement bien, avec sa voix de petit marquis écorché, de cygne noir. Mais loin de sombrer dans la préciosité, le résultat reste toujours confondant de simplicité, avec cette musique faite, comme le blues, d’autant de vides que de pleins.

O temps, suspends ton Violator ! Avec Playing the Angel, Depeche Mode effectue un saut dans le temps digne d’Austin Powers : mojo, baby! "

Arnaud Viviant (journaliste aux Inrocks)

Ray Caesar

Impeccables images d'un univers "steampunk" victorien où figure des filles à la peau de porcelaine, les sereines créations digitales de Ray Caesar utilisent le rendu par rayons de lumière pour se dévoiler au monde ! Tim Burton n'est pas très loin avec cette ambiance gothico-fantastique.

Xavier B.

Site de l'artiste

Agato 575 GTZ

Le designer italien Zagato a réalisé, pour le compte d'un riche collectionneur japonais, un modèle unique pour habiller l'attirail mécanique de la 575 de ce dernier. Une étude de style inspirée par la mythique Ferrari 250 GTZ.

Xavier B.

Starck, oui mais

Si je vous dis que j'adore le "Rendez-Vous" TOYOTA, vous me croyez ?
La nouvelle génération est en marche, le french design est d'abord mondial, visionaire et beau.
Merci qui ? Merci Monsieur Ora Itö.

Xavier B.

La french touch

... ce n'est pas fini :

Séduction est le mot d’ordre de Patrick Le Quément, qui dirige à Guyancourt (près de Paris) une équipe de designers au technocentre Renault. La voiture n’est plus une simple mécanique, elle devient avec lui un objet de désir.

Le style dépouillé des frères Bouroullec se caractérise par un dessin épuré, des formes géométriques simples et l’art du détail. Très proches de l’esthétique nippone, ils ont conçu, en 2000, la nouvelle boutique parisienne du couturier Issey Miyake.

Andrée Putman aime la confrontation des matières et des formes ainsi que les lignes contemporaines épurées. Sobriété, raffinement, simplicité sont les mots d’ordre de cette prêtresse du design français. Décors de cinéma, architecture d’intérieur en France comme à l’étranger, jeux d’enfants ou objets utilitaires : son registre de création est vaste.

Olivier Gagnère travaille pour une clientèle raffinée française et internationale. Il ennoblit le cristal ainsi que la porcelaine de Limoges. On lui doit la décoration du café Marly, situé face à la pyramide du Louvre, à Paris. Le style Gagnère, c’est la modernité dans la tradition.

Martin Szekely va à l’essentiel ; il propose des objets à la forme simple et concilie la création originale avec la contrainte industrielle. Pour Perrier, il a réalisé un verre distribué dans les cafés. Il a été élu « Créateur de l’année 1987 » lors du Salon du meuble.

Christophe Pillet refuse toute influence et tout enfermement dans un style. N’ayant ni matériaux ni formes de prédilection, il aime surprendre. Elu créateur de l’année en 1994, il travaille autant le design de l’électroménager que l’aménagement intérieur.

Jean-Marie Massaud vient de créer une forme abstraite pour le dernier flacon de parfum pour homme de Cacharel (Nemo). Son champ d’action est également très large : maison individuelle au Japon, chaises et canapés destinés au grand public. Pourvu que l’objet quotidien soit déroutant.

Christian Liaigre est un décorateur d’intérieur de choix dans le milieu de la mode et de l’architecture : de l’appartement de Calvin Klein à Tribecca (New York) à l’hôtel Le Montalembert à Paris, en passant par les ambassades de France à New Delhi et Varsovie, ce Français de cinquante-trois ans, friand de lignes épurées et d’intérieurs chaleureux mêlant le bois et le cuir (« des matières qui excellent dans l’art noble de vieillir »), nous donne un aperçu de son style dans sa boutique showroom de la rue du Bac, à Paris.

Ruedi Baur, « le » spécialiste de la communication, a réalisé récemment la nouvelle signalétique du Centre Georges-Pompidou, à Paris. Il a également travaillé à celle du château de Chambord et de la Cité internationale universitaire de Paris. Sa recherche consiste à adapter l’information à son environnement pour mieux vivre les espaces.

Aaaaah... la French Touch

Xavier B.

Design en commun

Avec un tel design j'irai plus souvent dans le métro.
C'est chouette.

Xavier B.

Castelbajac... Very smart !

Présentée en exclusivité au mondial de l'automobile de Paris, la smart fortwo Castelbajac affiche un look urbain fabulaux. Cette série spéciale a été réalisé par l'artiste et créateur de mode français Jean-Charles de Castelbajac.

Construite sur la base d'une pulse, cette fortwo est proposée en 8 coloris tous plus originaux les uns que les autres. Avec cette smart castelbajac vous ne pourrez pas passer inaperçu dans la rue !

L'intérieur recoit également quelques retouches : les sièges sont assortis avec la carosserie et quelques logos du créateur apposés dans l'habitacle. Hormis cela, rien ne distingue cette fortwo castelbajac d'une pulse standard. Une fois le motif choisi dans votre smart center, il vous faudra débourser 1100 euros de plus que le modèle de base pour acheter cette fortwo castelbajac. Un montant élevé, mais c'est le prix à payer pour rouler dans une smart de créateur au volant de laquelle vous vous distinguerez de la foule des véhicules blanc ou gris sur la route.

Xavier B.

Courcelles Street

Voici maintenant 31 ans, disparaissait François de Roubaix dans un accident de plongée. Le week end des 9 et 10 septembre 2006, se déroulera au Divan du Monde, deux journées hommages à ce génie de la musique de film. Si son nom ne vous dit rien, rassurez-vous vous connaissez bel et bien les mélodies qu'il a composé, notamment celle de "La Scoumoune", des "Aventuriers", du "Vieux Fusil", mais également de "Chapi Chapo", "Les Chevaliers du Ciel", etc. Une bonne occasion donc, de se plonger dans l'univers aquatique de ce merveilleux compositeur !

Posté par Casi